Avec les réseaux sociaux, les temps changent.

JACKDAGNET : WANTED - Dead or Alive - for 80.000 visites

Grognements d'un blog.

Long soupir.

Bruits sourd d'une déambulation.

Souffle de tueur.

Voix indistinctes.

Respiration forte. 

Respiration lourde.

Haletante.

Souffle de tueur.

Tintement de carillon

Grincement de porte.

Le grand air, le grand vide. 

Une voix de congressman surgit :

Mesdames et messieurs, nous y sommes, plus de 80 000 visites. Jackdagnet, le blog contre-culturel dont la droiture morale est difficile à cerner, vous salue et n'oubliez jamais, 

la vie mérite votre respect... 

Les 70 000 visites sont tombées sur Jackdagnet.

• Chuuut, soyons précis dans nos verbatims, ajustons nos cols et flinguons...

C'est de la culture baignant dans un évier dégueulasse, c'est aussi gonflé qu'un bubble penis, 

c'est un combat de coqs avec tout un tas de miroirs autour, c'est une princesse aux cheveux d'or balancée sur une civière et ovationnée...

Jackdagnet, votre blog, vous remercie. Et si votre vie n'est pas de qualité, n'oubliez pas ce vieux dicton : " on ne brille pas à l'exposition du soleil ".

Le RER, le moteur de recherche de l'enfer urbain.

Comme des agneaux allant à l'abattoir, libérés au compte-goutte dans un cadre de recherche ; 


comme des âmes googlés et les unes sur les autres ; dans les RER j'me dis souvent ceci : " si le diable débarque un jour sur terre, il arrivera par cette porte de recherche ".  

60 000 !! Les points de sutures ont sauté.

• Dont la droiture morale est difficile à cerner...

C'est très long de se construire une réputation qui n'est pas moraliste. 

Alors pour combler cet ennuie, on doit tous décider pour soi-même combien de vices on peut supporter. C'est mieux. Sinon c'est les autres qui s'en chargeront...

- Jackdagnet - 

Jackdagnet, la véritable histoire de ce blog (Phase 1).

• Il était une foireuse destiné...

Plus de 50 000 visites et un an déjà, il est l'heure de prendre une décision : laissez-moi réfléchir... j'me ressers un autre verre. Ça c'est une décision ! Et je vais vous raconter la vraie histoire de ce blog par la même occasion.

2010 

Déjà atteint de trouble psychique, la vie de Jack bascule lorsque Jack perd la vie subitement. Après des mois à boire à sa santé, son cousin repense à l'homme qu'il était avant de finir parachuter dans les tranchées de la drogue.

 

Avec le temps, d'après des réflexions sur la vie, Belzébuth, les inadaptés de notre société, le jeu silencieux de la contre-culture et l'enfer chez les autres, ce drame irréversible donna naissance à quelque chose d'inattendue, plus inattendue que le diable qui s'éveillerait un matin avec des ailes d'anges dans le dos...

un putain de blog... 

JACKDAGNET est crée.

 

Fin de la phase une. À suivre... 

Jackdagnet 25 000 visites : Veux-tu te battre ou veux-tu qu'on baise ?

• Se rouler sur la tendre herbe de l'enfer...

 25 000 Jacks ? C'est ça. Mais pourquoi diable cela continue-t-il ? Les psys doivent avoir des mots pour ça... Les psys ont toujours des mots pour tout.

Un mois après ses 20 000 voici les 5000 de plus qui aggravent son cas. Jack'machin ? Jackdagnet : Le blog à inscrire entre le moment où les clodos migrent vers les plus mauvais spiritueux et un requin marteau qui s'en serre une.

Et comme dirait l'autre, des ivrogneries aux tattoos, baise-mains, coups de sang, etc ; continuons de nous rouler sur la tendre herbe de l'enfer culturel...

Charles Bukowski : Quoi ? Ce bruit, c'est parce qu'il manque quelque chose.

20 000 Jacks sur Jackdagnet : Touchdown biatch !!! Touchdown !!

• JACKDAGNET... 

 Il feint à droite, il est aux 30 mètres, 20, 10, 5, TOUCHHouchdOWWNN BBBiatCHH (20 000 pages visitées) !!! J'ai le plaisir de vous annoncer que ce blog vient de rentrer un putain de Fakie Half Cab Heel sur son skateboard (figure de skate).

Jackdagnet, c'est comme les crashs de voitures sur Youtube ; vous ne pouvez pas vous empêcher de revenir et de regarder. 
Vous êtes du Canada, de la Belgique, des USA, du Maroc, d'Allemagne, de Tunisie, de Russie, d'Algérie et de Suisse à suivre ce blog, qui vous ressemble beaucoup, et j'peux vous dire que vous avez une sale gueule.  

 Jackdagnet, c'est le blog qui a de quoi faire bander n'importe quel psy. Mais vous faites pas de bille. Si un jour j'me fais interner, mon assurance couvrira les frais des 99 premiers jours, et je pourrais enfin devenir celui que j'aurais du être :

Johnny Storm !

10000 Pages Visitées de JackDagnet : Vichy ! Vichy ! Vichy !

• Tchin-Tchin, 10 000 Jacks !

Qui a dit que Jackdagnet ne valait pas une tripette, hein ? 10 000 pages visitées ! Tope-là mon vieux Buk ! Et vous, préparez une énorme croûte car on continue et on leur dit toujours d'aller se faire foutre. 

 Ainsi soit-il, avec l'art, l'underground et les étincelles de ceux qui se sont tirés à jamais (Hendrix, Hemingway, King Kong, ou encore ma voisine du quatrième étage...) ; JACKDAGNET fédère façon tornade emportant tout sur son passage. Et entre nous, même les feulements d'un chien dans le tambour d'un sèche linge en marche, ne seraient pas aussi sincère que ces voeux :

MERCI

 HTTP://JACKDAGNET

.BLOGSPOT.COM/

JACKDAGNET le blog où il se passe quelque chose...

JACKDAGNET est un blog qui n'est pas sans danger. 

JACKDAGNET prend la contre-culture face à face. 

JACKDAGNET, vous ne l'avez pas vue venir comme une estocade

...alors maintenant laissez, je gère.

5000 !

Manuggia Jésu Christi ! 5000 visiteurs ! Ho Ho ! Et si on dansait comme ces insurgés en Irak célébrant la destruction d'un tank ennemie ? Quoi ? Pardon j'me calme, but, the show must go on.

L'ancêtre du SpringBreak

• le monde

Chill à Lisbonne Part. 3

Road Trip à Amsterdam

Double hommage Sharon Jones et David Mills

Ceci est un double hommage. Un double hommage pour deux raisons très simple, la première, pour la musique de la chanteuse Sharon Jones, un blues comme on n'en fait plus. Et "segundo", comme j'ai découvert cette chanteuse sur le blog du défunt scénariste David Mills, de la mythique série des séries policières "The Wire". Double hommages.

Quand je serai roi

• littérature

Dans mon appart avec vue sur la mer, je viens de faire fuir un cambrioleur, qui s'est aperçu que je lisais Quand je serai roi...


Ceci est mon coup de canif littéraire du moment.


Quand je serai roi nous embarque dans un Mexique morcelé. Celui qui fait le grand écart entre la droiture morale, les démons de la corruption, la réussite des uns qui fait barrage à celle des autres.

L'enfer des autres. Dans une société grisée qui pourrait-être la notre finalement. Enrique Serna, dresse le portrait écorché d'une époque où à été jeté au centre de la table, un concours vénéneux. Le concours qui récompensera " l'enfant héros " (l'enfant le plus brave, le plus héroique).


Un concours, oui mais...


Au-delà de la realité dans laquelle chaque personnage déballe son sac d'histoire. Tous ont le million de pesos dans les pupilles (celui à la clé du concours). Et à partir de là, l'horreur devient un jeu, chacuns affûtes son couteau, et les coups partent tous seuls.


Il y a Nopal et sa clique, shooté à la colle nuit et jour. Marquitos, " fils de " aussi felé que pourrit gâté. Les médias, les flics pourrits et toutes sortes de fausses bonnes âmes charitables.

Dans ce grand puzzle léché d'une écriture qui ne joue pas à la petite effraction. Enrique Serna pour son deuxième roman, de main de maître, a donné un visage aux pires facettes de l'homme, lorsqu'il se retrouve à faire des choix, pour devenir, ou resté le roi.


Enrique Serna - Quand je serai roi - 267 pages
Traduit de l’espagnol (Mexique) par François Gaudry.
Editions Métailié.