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lundi 4 mars 2013

Dany Laferrière, le flambeau qui se disait lampe.

Même quand Dany se dit H.S, il est en grande forme.


Il y en a c'est les araignées, d'autres les carottes, bien moi, c'est les belles lampes qui ne brillent pas.


 

J'ai toujours admiré ceux sans but qui bâtissent les plus grands chantiers de l'histoire.

Dans Je Suis Fatigué Dany L. souffle le salaud qui se donne sur la touche... 

Il parle de Senghor, de vol de papillon, d'un fin sourire de Mona Lisa Nippone. Mais comme tout ce qu'il écrit, son pulp haïtien évite la sortie de route ennuyeuse ; 

et son flegme de pirate n'est que la tête de l'iceberg d'une énergie, celle d'un homme qui caresse tendrement sa colère planétaire.     

1 commentaire:

  1. "l'écrivain japonnais" ...n'est jamais fatigué, il a toujours le goût des jeunes filles, toujours envie de café, il n'oubliera pas Haïti même sans chapeau. Grand amateur d'après midi sans fin et de Grenade, c'est vers le sud ou dans sa vielle ford 80 que vous l'apercevrez souvent en pleine dérive douce. c'est son art ....de vivre même par temps de catastrophe. Ce nègre amoureux d'Eroshima m'a transmis à jamais ....son désir de Vava

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