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vendredi 20 janvier 2012

Mac Miller : the sounds of Pittsburgh (Bis).


•  Chéri ! appelle la POLICE sur ce blog on incite à fumer... 


J'me dis que, SI, j'étais un rappeur - chose que je suis loin d'être - je ne serais pas de ceux qui menacent de dissoudre à l'acide la moitié de l'humanité. Pourquoi ? Parce qu'en vrai tous ces mecs qui se disent prêt, ne sont prêt à rien ; si ce n'est se lever à 17 h, pleurer après la Sacem, profiter du RSA, et se pavaner dans la street en tongues. Bandes de racailleux des plages... Non, moi je ferais comme monsieur Mac Miller.   


Dans ma musique il n'y aurait que : mon Pittsburgh, mon crew, mes murges, mes gimmicks, mes folles, mon ouest, ma boulimie du sexe, et j'inciterais à écouter ma musique lors de soirées où l'on fume, frappe dans l'italien du coin (pizza), baise, et boit à l'oeil jusqu'à ce que Moise en personne apparaisse, et s'interpose à cet apocalypse (ou descende du ciel pour faire le DJ).  


Mac Miller est un rappeur américain aussi blanc que Tiger Wood est noir, il est dans le channel Jackdagnet, et non, ce n'est pas le fils de Carl Miller (un mec qui s'fait froisser par Bruce Lee dans Le Jeu de la Mort "pic 3").

  
L'info qu'il ne faut pas oublier. Miller The KID jette l'encre avec son premier album : Blue Side Park. 

P.S : Bruce Lee si tu nous regardes de là-haut, mec, sache qu'on mate toujours tes films.

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