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lundi 10 juin 2013

La favela : la nouvelle école des cadavres.

• Bang, bang, dans les châtaignes ! 


La vie comme un foie gras poêlé à feu doux, ce n'est pas ma came. 

D'ailleurs à la Depardieu, je songe actuellement à revêtir la nationalité "narcotrafiquante".



Être ou ne pas être, mourir d'une glissade fatale sur son parquet bobo, ou encore mourir, 

en se faisant défenestrer par un tir sous une pluie torrentielle dans une favela, telles sont les questions. 




On rigole, on rigole mais ça meurt à tous étages là-bas. Et en cas d'ère post-apocalyptique avec des attaques de zombies, 

la survie de notre espèce ne pourrait compter que sur ces têtes brûlées...



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